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Nous
Equipement
Kuba
- vélo Wheeler 1600 (cross) changé à trekking - sans exagération, mais révélation; le premier rayon s'est cassé après 5000 km, en général sans aucun problème - je peux recommander
- sacs Giant 80906500 - si j'ai eu la possibilité à faire le projet de sacs, je ferais quelque chose d'autre; quand même ceux-ci n'ont pas été si mauvais, assez résistants à la pluie (avec des couvertures supplémentaires) - le problème: ils se courbent dangereusement vers la roue, ce qui peut faire les sacs se fourrer dans les rayons - je ni recommande ni décourage
- bidon - la bouteille de l'eau minérale 1,25 l - volumineuse, va très bien avec un panier, mais c'est très difficile de prendre l'eau d'un robinet dans une toilette publique, en outre après 2 semaines l'espagnolette a eu l'air un peu décourageant - malgré tous, je recommande
- lumière de derrière cat-eye - une révélation, avec les mêmes batteries elle fonctionne depuis 5 ans à peu près
- compteur de kilomètres Mitam (made in Italy) - treize fonctions, mais "hydrophile". Et parce que les pluies ont été nos compagnons toujours, le compteur ne s'est pas confirmé dans les conditions danoises. Même si le thermomètre (une de ses fonctions) s'est avéré extrêmement utile, je ne recommande pas du tout
- Ben-Gay rouge - c'était grâce à ça que je roulais - je recommande chaleureusement
- alunatte - je ne recommande pas décidément
Bruno
- vélo Author Versus ('96) - le VTT classique, avec l'histoire signifiante (plus que 15 mille km dont la plupart dans le terrain).
Tous que j'ai fait pour le préparer pour l'expédition c'est installer le porte-bagages et les sacs, changer les freins et les pneus (pour les "slicks"). Déjà pendant le voyage j'ai enlevé le support d'un guidon le plus haut possible (c'est à dire quelques 2 centimètres). Malgré mes craints le vélo était courageux, sauf quelques petits problèmes avec la roue de derrière il n'y avait pas de troubles trop graves. Par contre ce que j'aime le plus en lui normalement - la verve sportive - s'est fait sentir ici. La prochaine fois avant une expédition comme ça, je me réfléchirai sérieusement à acheter la selle plus confortable et à changer le support du guidon
- sacs Alpinus ('97) - théoriquement tout allait bien, les sacs n'ont pas eu des fautes évidentes, mais sûrement ils sont loin d'un idéal. D'abord la matière est peu résistante mécaniquement; les sacs se tendent, se courbent, et à cause de ça tout le bagage devient peu stable, en outre les sacs se trouent facilement
- petit sac sur le guidon Alpinus ('97) - très utile, en particulier pour le caméra. Une poche supplémentaire pour la carte qui a une surface très limitée et force à plier la carte, est très pratique. L'autre avantage est une housse imperméable.
- vêtements "de taille en haut" - la veste Jump Biko de hydrotex, polar Kagen Alpinus et un blouson de Rhovyl'On d'Alpinusa aussi. Une collection très sympa, confortable pendant n'importe quel temps - en fait je pouvais ne prendre rien que de ça. Parfois j'ai utilisé le T-shirt cotonnier
- vêtements "de taille en bas" - à part de culotte de vélo j'ai pris les guêtres longues achetés pour drôle d'argent. Pendant les jours plus froids je les mettais sur la culotte de vélo. Elles se sont confirmées très bien. J'ai pris aussi les pantalons classiques - ils ont pris l'espace précieuse dans les sacs et je ne les utilisais pas jamais
- la chaussure SIDI, modèle touristique (je ne me rappelle pas du nom), avec des bloques - sans aucun problème. Normalement je me plains parce qu'elle est un peu trop grande et tient le pied trop faiblement, mais pendant cette expédition c'était plutôt un avantage. J'ai pris aussi les sandales - ils peuvent mieux rester chez moi, quand même
- pneus "slick" de Debica - bof... ils ont passé tout le voyage et c'est probablement leur avantage principal. C'était ma première aventure avec les "slicks"; ils se tournent plus facilement que ça que j'utilise normalement mais la différence n'est pas révolutionnaire. Les "slicks" sont extrêmement faciles à être percés, j'ai eu les trous sur tous, sur le verre cassé, sur le gravier plus tranchant. Mais enfin ils ont rempli leur devoir et car je n'ai payé que 5 dollars par pièce, je ne peux pas me plaindre
- compteur Sigma Sport BC800 - la construction solide et bien vérifiée, digne de recommandation
- lubrifiant White Lightning - normalement c'est mon lubrifiant préféré. Malheureusement pendant cette voyage il m'a déçu un peu; il s'est sapé trop facilement, pendant les jours plus froids j'ai les problèmes à l'appliquer. Heureusement j'ai pris le Finish Line comme réserve
- natte classique avec une couche supplémentaire d'aluminium - le confort, l'objet de jalousie de Kuba ;-)
- caméra Canon EOS300, je n'irais pas sûrement sans lui, mais de l'autre côté c'est un peu un trouble parce que le caméra est relativement grand, les conditions dures et il manque d'ambiance et de temps pour prendre des photos plus sérieuses pendant une expédition comme ça. Je peux encourir la défaveur de photo amateurs mais je crois que le caméra automatique assez propre pourrait être un peu plus pratique dans ces conditions là
- porte-bagages Tranz-X universel 26 - 28''
universel, donc nous l'avons utilisé tous les deux, en moitie de notre expédition un de nos porte-bagages s'est cassé, ce qui n'était pas du tout sympa, en particulier en prenant en considération que s'est passé pendant la nuit, plus tard le même porte-bagages s'est cassé encore une fois et est actuellement en train d'être réclamé - nous ne recommandons pas du tout
- par contre nous recommandons absolument l'utilisation des casques. Ils sauvent la vie même dans des situations pour lesquelles ils ne sont pas normalement désignés. Par exemple quand pendant la pluie la poire pas nécessairement mûre tombe sur la tête, le casque peut s'avérer très, très utile (nous utilisons les casques d'Alpina et de Rudy Project).
- nous recommandons aussi les culottes de vélo, sans eux ce serait difficile à supporter plus de cent kilomètres en selle par jour
- la tente Marabut Jawa - la forme traditionnelle triangulaire, pour deux personnes (3 kg) et même si l'hauteur d'un de nous est supérieure aux dimensions de la tente, nous avons bien dormi. Car notre Marabut à été roulé le plus souvent mouillé, nous l'avons appelé tendrement "la renfermée"; il n'y avait pas d'antipathie en ça, parce qu'elle desserve un grand "bravo" pour la protection excellente avec laquelle elle nous a fourni pendant tout l'expédition - nous recommandons de toutes nos cœurs
- toile de construction, noire, 5x5 m - la tente pour nos vélos. Chaque nuit, comme Christo, nous avons préparé avec sollicitude le "Trousseau". Grâce à ça nos vélos ont été complètement secs chaque matinée. Notre intention était aussi de protéger nos vélos contre les yeux de voleurs locaux, mais cette fonction s'avérait inutile en Danemark. Même si, comme la Marabut, la toile a commence à sentir renfermée, nous recommandons l'invention comme ça chaleureusement
- sac de couchage "pajak 1 kg bag" - nous avons utilisé les mêmes tous les deux et nous sommes plutôt satisfaits
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