Le grand voyage s'est commencé à Swinoujscie, où nous sommes descendus le train, extrêmement frais après tout la nuit sans dormir avec notre équipement dans un poignet du train. Notre enthousiasme n'a pas été gêné même par le petit pluie incessant, qui s’avérait notamment un bon tempête après quelques kilomètres. Il ne nous a pas quitté jusqu'au premier soir de notre expédition. Nous avons fait les dernières courses à Swinoujscie et nous nous sommes dirigés vers la frontière. Accompagnés par la foule des allemands retournant de leurs courses matinales nous avons traversé la ligne de base et plein d'optimisme nous nous sommes lancés à l'aventure. Pour s'orienter un peu nous nous sommes arrêtés après quelques 25 kilomètres pour trouver l'office du tourisme. Là nous avons reçu la carte schématique de la région où nous avons été. Nous avons même trouvé une piste cyclable qui nous a guidé agréablement le long du bord de la Mer Baltique. Quand même nous avons été forcé de la quitter après que nous nous sommes retrouvés quelques fois dans le même endroit. Le premier jour s'est fini après 90 km avec un succès énorme - nous avons trouvé le gîte fantastique dans une ferme laitière à Griebenow.
Le deuxième jour était assez pareil au premier. Il pleuvait un peu moins mais il pleuvait aussi. Convaincus que le bac de Rostock à Danemark traverse la mer chaque deux heures nous nous sommes décidés de consacrer un peu de notre temps pour visiter cette ville dit très jolie. Nous l'avons atteint vers 19:30 et heureusement nous avons demandés la route à un sportif local. Il a bien compris notre situation et s'est décidé de nous accompagner jusqu'au port. Son aide s’avérait inestimable et ici nous voudrions lui remercier encore une fois. C'est parce que pour aller au port il faut soit prendre l'autoroute (ce que nous n'avons pas du tout faire), soit suivre des petits chemins connus seulement aux sportifs locaux. Nous avons été très heureux à atteindre le port à 20:56, le bac quittait à 21:00. Le service gênant, l'embarquement fulgurant et ... la conscience extrêmement agréable d'une transaction à très bon marché. Pour le bac nous avons payé 10 DEM chacun plus son vélo! 2 heures d'un relax absolu avec les chips et bananes de chocolat nous ont permis d'établir tranquillement le plan d'action après le débarquement. Sûrement pas sur la terre ferme, parce que la terre ferme nous ne sommes pas touchés pendant plusieurs jours encore - le Danemark est un pays composé de plus que 400 îles. Juste après 23 heures nous avons atteint le village Gedser au sud de l'île Falster. Nous avons trouvé le coucher très confortable très près des établissements humaines, comme nous avons vu le matin, juste devant l'école!
Le matin, pas trop tôt, nous sommes partis pour le nord. Encore très timidement, nous avons pensé que ça pourrait être extrêmement joli d'atteindre le point le plus nord de Danemark, la presqu’île Skagen. Nous avons laissé ces plans très lointaines et nous nous sommes occupés des affaires courantes en contemplant les environs. Et les environs ont été très jolis. Les champs pleins des éoliennes et surtout les pistes cyclables. Les pistes si fantastiques que c'était difficile à croire qu'elles ont été créées juste pour nous, les cyclistes. Les femmes que nous avons rencontré dans l'office de tourisme nous avons donné (malgré nos protestations) beaucoup de brochures, dépliants et cartes. Certains de ces cadeaux nous ont servi pendant tout le voyage. Certains nous servent encore comme les souvenirs précieux. Nous sommes arrivés au premier ville danois - Nykobing, dit parfois Nykobing F. Ce qui est digne de recommandation là bas, c'est le petit zoo (entrée gratuit) et le centre médiéval. De Nykobing nous nous sommes dirigés au nord-est, dans la direction de l'île Mon, que nous avons eu le plaisir de visiter le jour suivant.
L'attraction principale de l'île est constitue par les falaises dans son côte d'est. Il y a des endroits où elles ont 150 m à peu près et sont vraiment spectaculaires. Nous avons trouvé encore une autre site touristique, le palais avec des bâtiments historiques campagnards de différents sites scandinaves. Le temps s’avérait exceptionnellement défavorable, notamment pendant le retour. Il ne seulement pleuvait, mais nous avons aussi l'opportunité de reconnaître les vents danois. Les vents que ne nous ont quitté jusqu'à la fin de notre visite dans ce pays. Contrairement à la conviction générale, le Danemark n'est pas du tout un pays plat. Elle est assez plié à cause des glaciers qui ont traversé son territoire relativement souvent dans le passé. Faire du vélo là bas, c'est un peu comme faire du vélo dans des petites montagnes. Petites mais très denses. Cela semble facile - un peu en haut, mais en bas - mais pas in Danemark. Là, c'est difficile même de descendre la montagne. Nous avons essayé cela pendant notre retour de Mon vers l'île principale du Danemark, Sjaelland. Pour descendre avec la vélocité de 10-15 km/h nous avons du pédaler assez fortement. Si nous avons quitté de pédaler, le vent nous aurait poussé au sommet. Quand même, avec un grand effort nous sommes arrivés à Sjaelland.
Après la nuit passé dans le foret, étant un endroit protégé comme la plupart des rares forêts danois, nous avons commencé le cinquième jour de notre expédition. Ce jour-là nous avons découvert le seul probablement désavantage des pistes cyclables danoises. Les distances entre les villes suivants se sont toujours allongé quand nous avons pris les pistes. Les pistes, beaucoup plus calmes et tranquilles que les routes pour des voitures, circulent souvent un peu autour. A vrai dire les pistes suivent souvent les routes normales mais plus tranquilles, utilisés rarement par les voitures. Le cinquième jour nous sommes arrivés dans le banlieue de Copenhague. Nous nous sommes décidés de passer la nuit très romantique sur la plage - dans la lumière de la lune. Cela s’avérait une idée assez mauvaise, mais malheureusement trop tard. Ce vrai qu'il n y avait pas du vent, mais la température a baissé jusqu'au 4°C et l'humidité était incroyable. Ce n'était pas possible de dormir pour plus de 15 minutes sans se réveiller pour regarder l'heure en espérant qu'on pourrait déjà se lever.
Après des expériences comme ça le réveil était aussi spectaculaire: le lever du soleil au dessus de Copenhague, que nous avons visité un peu plus tard. La visite a occupé plusieurs heures, nous avons vu la plupart des monuments proposés par notre guide, en comptant le restaurant végétarien, où nous avons consommé notre premier et, comme cela s’avérait ensuite, aussi le dernier repas chaud pendant notre voyage. L'endroit que nous avons trouvé plus intéressant c'est la Ville Libre de Christiania om demeurent des différents révoltés s'opposants aux toutes les formes d'autorité. En quittant la Copenhague nous avons découvert encore une caractéristique intéressante des pistes cyclables danoises. Parfois elles ont été placé le long des autoroutes. Dans ce cas-là les pistes, juste comme les autoroute, elles croisent les autres routes sans aucune collision.
Le septième jour c'était le jour d'une vrai course cycliste. Nous avons perdu le premier étape mais heureusement nous avons récupéré pendant le deuxième. Les courses, aussi pendant les jours à venir, ont eu lieu toujours quand nous avons connu l'heure du bac, que nous avons eu l'intention de prendre. Il est très utile de connaître les heures des bacs parce que parfois elles sont très irrégulières. De plus, c'est possible que dans une ligne particulière il n y a qu'un seul bac par jour. Mais s'arrive plutôt en hiver qu'en été. Nous avons fini le premier étape en arrivant dans le port juste au moment où le bac venait d'être fermé. Le deuxième nous avons gagné avec 5 minutes de réserve. Le deuxième bac était très intéressant car il a traversé le distance de 80 km de Havnebyen au deuxième grande ville de Danemark - Arhus en une heure. C'était un grand catamaran avec 3 bords pour des voitures (et vélos, bien sûr). Si nous avons roulé avec une telle vélocité tout le temps, notre expédition aura pris seulement trois jours au lieu de trois semaines. Pendant cette après-midi ensoleillé Arhus était complètement déserté. Heureux d'avoir atteint le continent, nous nous sommes décidé de continuer le voyage.
Le but mythique, Skagen, semblait être de plus en plus réalisable. Nous sommes été seulement deux jours de voyage de la presqu’île. Le nord du Danemark était très différent que les parties que nous avions déjà traversé. Les pâturages ont remplacé les champs, les villes sont devenu plus rares et les forêts, une fois rares, ont disparu complètement. L'image très caractéristique au nord du Danemark, les bruyères vastes, souvent occupent les dunes au bord de la mer. En traversant les villes industrielles Randers et Aalborg nous avons remarqué que chaque ville en Danemark est intéressant dans une manière (en fait c'est vrai pour tout le monde). Même ces villes industrielles ont eu les centres médiévales ou on peut trouver des maisons à double encorbellement.
Nous sommes arrivés au but de notre voyage tard en après-midi. Nous sommes arrivés à Skagen. Vite nous nous sommes décidé de fêter ça avec un dîner somptueux. Pour le menu principale nous avons choisi les framboises sèches. Comme nous avons été déçu quand nous avons trouvé que nos framboises ont été sous la forme d'un compote! Nous n'avons pas appris le danois malheureusement jusqu'à la fin de l'expédition... Malgré tous, l'endroit où se mélangent les eaux de la Mer Baltique et de la Mer du Nord s’avérait être sûrement digne d'être notre but. Dès que nous l'avons quitté, notre retour s'est commencé. Pas nécessairement dans la direction sud-est toute de suite.
Dix jours, un bel jubilé! Un bon moment pour commencer le retour. Et comme le vrai retour, aussi le notre s'est produisait en pluie terrible. Ce n'était pas, à vrai dire, une grande différence par rapport aux jours précédents. Et car les baignades de soleil n'ont pas été possibles en Danemark, nous nous sommes baignés dans la pluie. Et même si au lieu de s'approcher à la maison, nous nous sommes encore éloignés, nous avons senti que nous ont été plus près avec chaque mouvement de nos pieds. En retournant nous avons voulu dire "Au revoir" à la Mer du Nord et c'est pour ça que nous nous sommes dirigés d'abord vers le coté d'ouest de Danemark.
Nous avons fait nos adieux avec la Mer définitivement pendant l'onzième jour. D'abord nous l'avons salué du niveau des falaises où habitent pendant la saison de nicher les mouettes tridactyle. C'était tard en après-midi que nous avons traversé le pour la dernière fois la Mer par bac (cette fois aussi nous avons perdu la course). Après être descendu du bac nous nous sommes retrouvés dans une ville complètement différent à ce que nous avons vu jusqu'à là. Thyboron rassemblait beaucoup des petites villes américaines perdues dans les vastes espaces. Vraiment inquiété nous nous sommes mis à explorer cette ville et seulement après nous nous sommes convaincus que nous avons été encore en Danemark, nous avons repris notre route. Le jour s’avérait être très dur. Nous avons fait plus que 160 km et nous n'avons trouve le coucher que deux heures après le coucher du soleil. La situation était d'autant plus compliqué, qu'un de nos porte-bagages "Tranz-X" s'est cassé juste après le coucher du soleil. Puis il s'est cassé encore une fois, mais pour trouver notre opinion sur ce sujet nous vous invitons à la page consacré à l'équipement.
Le douzième jour nous sommes passés près de Legoland, la principale attraction touristique de Danemark. La discussion si nous le visiterions ou non était très longue, elle durait carrément du début de notre voyage. Finalement nous n'y sommes pas allés, en fait nous sommes passé à côté très lointaine. Pourquoi? Essayez d'imaginer deux vieillards voyageants par train de Lego parmi les constructions diverses de Lego aussi. Non, nous préférons les vélo. A part de ça nous avons déjà commencé à gagner la vitesse en retournant...
Le jour suivant nous ont été étonné encore une fois. Nous avons rencontrés le groupe des supporters polonais, qui sont venu pour regarder les cours de moto. e jour là nous sommes retournés aux îles, cette fois c'était surtout Fyn, l'île appelée le "Jardin du Danemark". Ce nom est assez fautif parce que, malgré les informations dans notre guide, il n y a pas plus des jardins là que dans des autres régions du Danemark du sud. Peut-être même il y en a moins. A Fyn se trouve la troisième grande ville du Danemark, Odense. C'est là où Hans Christian Andersen est né. C'est aussi là où se trouvent deux musées consacré à lui. Maintenant parce que pendant sa vie il n'était pas du tout estimé la bas. A cause de ça nous avons pris la décision de ne pas supportes les gens qui bénéficient de la gloire de ce grand homme malhonnêtement. Nous sommes passé à côté d'Odense.
Notre voyage devait de plus en plus vite. Pour la premier fois dans l'histoire de l'expédition nous avons eu le vent du côté et pas en face. En passant par les îles suivantes nous avons vu le pont énorme qui s'est montré tout de suite, comme juste de l'eau. Nous ont été très étonnés mais enfin capables de le traverser. Puis nous avons eu encore une voyage en bac, quelques ponts, et la piste cyclable traversant l'île Lolland. A vrai dire la pista n'a pas traversé l'île, elle nous a emmené dans plusieurs endroits, probablement pour nous montrer ce qui était le plus intéressant là. Grâce à ça nous avons eu la possibilité de connaître mieux cette île. Tard en après-midi nous sommes arrivés à une ville bien connu, Nykobing, dit aussi Nykobing F. (pour expliquer, nous pouvons écrire maintenant que le deuxième nom est utilisé pour différencier ce Nykobing des autres villes portants le même nom et se trouvant dans des autres îles, F. pour Falster). En arrivant à Nykobing nous avons fermé le cercle. Il nous restait seulement revenir à Gedser, d'où le matin suivant nous avons pris le bac juste à Rostock.
Le dernier coucher en Danemark nous avons passé juste dans le même endroit que le premier. Ce matin personne n'a pas nous réveillé car nous nous sommes levés un peu après 3 heures. Nous avons fini de dormir à bord de bac et nous sommes descendu juste après 6 heures. La route du port à la ville nous avons bien connu déjà, nous l'avons suivi sans aucun problème. Quand même nous nous sommes réveillé très vite d'un bel rêve danois, quand nous avons pris la route en Allemagne. Là, des cyclistes ne peuvent jamais compter sur la priorité, même sur le doublement culturel. Au début c'était le choc, mais vite nous nous sommes habitués. Nous avons fait nos premiers courses de relaxation et nos humeurs se sont vite améliorés après avoir découvert que nous sommes revenu dans des pays pas chers. Nous avons repris la route pour notre Pays.
Le matin seizième jour, comme le soir le quinzième, nous avons été seulement 50-60 km de la Pologne. Nous sommes arrivés à Altwarp au bord du lac de Szczecin d'où nous avons pris le bac pour Nowe Warpno. Il y a une autre ligne de bac là (à Swinoujscie) et tous les bacs ont les magasins tax-free à bord. Ces magasins constituent une "attraction" majeure dans la région. La plupart de passagers n'est pas descendue du bac quand il est arrivé à Nowe Warpno. Ils ont bénéficié de temps extraordinaire pour rester en dehors... en attendant la réouverture du magasin. POLSKA (la Pologne). Nous sommes été accueillis par des forêts énormes, 50 km jusqu'à Szczecin, presque tous en forêt. Notre expédition était en train de se finir. Nous avons visité des amis, mangé des gâteaux polonais. Un, deux jours après dans un train à Lodz où à Cracovie, nous ont pu penser tranquillement de notre expédition. Nous avons pu dire que c'était un grand succès.